12. Des coups bas pour la Marque

Le processus et la technologie nécessaires pour fragiliser et contrôler le commerce, les responsables politiques et les journalistes qui sont honnêtes (ou les détruire quand on n’a pas pu les contrôler) sont des secrets bien connus par les hommes chargés des basses oeuvres, ou qui comme moi, ont eu la chance de survivre à leur mise en route, et à la réalisation des programmes effectifs d’entraînement dans le réel. Pour comprendre leur fonctionnement, et le montant extraordinaire des ressources investies dans ces manipulations, il est d’abord nécessaire de prendre conscience de l’importance de la notion de « marque » pour le management du crime organisé, pratiqué de Wall Street à Washington.

Wikipedia définie une “marque” comme :

« l’incarnation symbolique de toute l’information reliée à un produit ou service. Une marque inclue généralement un nom, un logo et d’autres éléments visuels comme des images ou des symboles. Elle comprend aussi une série d’attentes, associées à un produit ou service, inscrits l’esprit des gens. Ces personnes incluent les employés de la marque, celles impliquée dans la distribution, la vente ou la fourniture, du produit ou du service, et enfin, les consommateurs. »

Un investisseur en capital-risque qui réussit comme John Birkelund, vous aurait dit qu’une bonne marque peut faire ou défaire une société et la valeur de ses actions.

La suprématie du modèle d’investissement de la de la finance centralisée en guerre perpétuelle, qui prévaut dans notre monde depuis 500 ans dépend de la capacité à associer les grandes marges de profits du crime organisé, au faible coût du capital et des liquidités que confèrent l’autorité gouvernementale et la foi du peuple dans la règle de droit. Notre économie est dépendante de personnes informées, à l’intérieur du système, qui prennent le beurre et l’argent du beurre, tout en subventionnant un repas gratuit en passant, pour quelqu’un d’autre. Cela marche bien quand le peuple partage un peu de cette manne financière, reste tranquille, et ne voit pas la vraie transaction qui se cache derrière, ni comment le système fonctionne. Par contre, la liquidité et l’autorité gouvernementale s’érodent quand la population commence à s’apercevoir de la manière dont les choses fonctionnent réellement. Si cela arrive, les gens pourront commencer à comprendre le pouvoir des nouvelles technologies innovantes, et la manière dont on peut réutiliser les ressources pour créer des richesses, pour soi et les autres. Dans le même temps, ils cesseront de croire au mythe selon lequel le système actuel serait fondamentalement légitime. Cela mettrait en danger les marchés financiers qui dépendent de pratiques et d’actifs collatéraux frauduleux, pour continuer à fonctionner. Cela met aussi en danger la richesse et le pouvoir des personnes ressortent gagnantes de la fraude financière.

En bref, la transparence détruit le jeu en place et ne peut pas de ce fait être tolérée. Aucune dépense ne sera économisée pour s’assurer que les personnes à l’intérieur, au détriment des autres, contrôlent les données financières. Ainsi que Nicholas Negroponte, le président fondateur du laboratoire des médias du MIT l’a un jour dit « dans un monde digital, les données financières valent plus que l’argent lui-même ».

Par conséquent, ce mythe fondateur et l’apparence de légitimé sont aidés par des montants d’argent extraordinaires et l’attention qui leur est portée, tout aussi extraordinaire. Ceci inclut l’invention d’histoires en direction du peuple sur les raisons pour lesquelles les riches et les puissants sont éthiques et dans le droit, et que les pauvres sont vénaux, xénophobes, voleurs et incompétents, et les bureaucrates de la classe moyenne sont tenus responsables des trafics de drogues, de la fraude financière et d’autres formes de crime organisé.

Si le succès normal du commerce de détail (par exemple, la vente de vêtements pour femmes ou des voitures) a un budget de marketing et de publicité, disons de 10% des revenus… alors que pensons-nous que les 500 milliards à 1 trilliard d’argent sale annuel aux Etats-Unis dépenseraient pour protéger leur franchise sur le marché ? Sur la base des 10%, comment pensez-vous que 50 à 100 millions de dollars seraient dépensés pour protéger la marque ? Surtout quand les budgets gouvernementaux peuvent être utilisés pour les financer ?

De ce fait, des sommes d’argents extraordinaires et beaucoup de temps sont dépensés pour détruire la crédibilité de ceux qui jetteraient la lumière sur ce qui se passe vraiment. Tout ceci malgré l’évidence économique selon laquelle ceux dont la fortune grandit le plus sont ceux qui ont les relations économiques les plus étroites avec le commerce qui fait le plus de profits. Or, comme l’a dit John Gotti, Jr en réponse à des allégations selon lesquelles sa famille était impliquée dans la drogue « Qui peut rivaliser avec le gouvernement ? ».

C’est seulement quand vous comprenez la valeur que la marque peut avoir que vous comprendrez les méthodes criminelles et les investissements extraordinaires réalisés pour arrêter et supprimer notre logiciel et produit informatique « Community Wizard » et essayer de me piéger et le groupe Hamilton avec.